11 septembre 2008
Mes nuits sans elle...
Pourquoi n'est-il pour m'étreindre Que les bras volages Du sommeil asséné par Morphée Et toi mon adorée, Pourquoi ne fais tu pas à l'heure d'éteindre De tes mains un outrage ? Je guette le repos au creux de moi, De ton corps alangui d'étreintes Cédant...